Star Wars: Clone Wars
Star Wars : Clone Wars
Dans une galaxie très lointaine, se noue un drame. Le chaos règne et une guerre impitoyable se déclare entre la République et les forces séparatistes menées par les sinistres Sith du côté obscur de la Force. La Guerre des Clones bat son plein... Les chevaliers Jedi, garants de la paix et de la justice dans le ...
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Terminée | Américaine | 3 minutes |
Science-Fiction, Animation | Cartoon Network, M6 | 2003 |
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1.01 - Chapitre un
Chapter I
Trois mois après la bataille de Geonosis, la guerre des clones fait rage à travers la galaxie. Obi-Wan Kenobi est chargé de donner l'assaut sur Muunilinst alors qu'Anakin Skylwalker reçoit le commandement des forces spatiales.
Diffusion originale : 07 novembre 2003
Diffusion française :
07 novembre 2003
Réalisat.eur.rice.s :
Genndy Tartakovsky
Scénariste.s :
Darrick Bachman, Bryan Andrews
,
Bryan Andrews
,
Darrick Bachman
Guest.s :
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 04 mai 2012 à 02:15 |
Je revois Clone War et je dois dire que le plaisir est toujours intact. L'animation est une pure merveille et le scénario assez fluide. Je ne suis pas loin de penser que Genndy Tartakovsky est un génie. Quand on voit la série en 3D qu'ils ont produit ensuite, on perçoit tout l'écart qualitatif entre les deux show. Pour moi, il n'y a qu'un seul 'Clone Wars" et c'est celui-ci. |
Belle contextualisation pour ce pilote avec quelques fulgurances notables (l'intro et le départ des Jedi, notamment la très pertinente référence à Qui-Gon faite par Obi Wan. La manière dont est représenté et animé Palpatine dans cet épisode me fera en outre toujours autant rire).
Cependant l'épisode ne propose pas vraiment pas grand chose pour ce 1er épisode. D'où cette note qui peut sembler sévère de prime abord mais qui est surtout là pour niveler par rapport à d'autres épisodes qui eux en étant tout aussi réussis sur la forme seront en plus beaucoup plus riche dans le fond.
Car bien entendu, tant en termes d'animation que de narration, la série montre dès ici son excellence et sa supériorité qualitative et sa plus grande cohésion et cohérence avec la saga face à l'autre version (dans laquelle il faudra tout de même que je me replonge vraiment, un jour) ...